CROATIE







LA CROATIE



DIMANCHE 27 NOVEMBRE 2016



Derniers rayons de soleil avant mon arrivée à Rijeka




LUNDI 28 NOVEMBRE 2016


RIJEKA - TRIBALJ


Je n'avais pas saisi pourquoi l'hôtel économique que j'avais réservé sur internet s'appelait BOTEL MARINA, maintenant je sais, ce vieux bateau a été complètement aménagé en dortoir de 6 ou 8 personnes par cabine. J'y ai rencontré un voisin de dortoir RADE CUKIC, qui m'a raconté sa mésaventure. Il s'est fait volé ses papiers, carte de crédit et argent liquide. RADE est un commerçant du MONTENEGRO. Lorsqu'il a appris que je devais passé par chez lui, il m'a proposé spontanément de m'accueillir dans sa maison. Au fils de la conversation il me fait comprendre qu'il aurait besoin de 8 à 10 € pour remplir son réservoir de carburant afin d'aller en Italie refaire sa carte bancaire de la poste italienne. Me voyant méfiant, il m'a monté sur internet son site concernant ses activités commerciales afin de me convaincre de l'aider. Dans le doute, je lui ai passé15€
Soit son histoire est réelle, et j'ai fait une bonne action de le sortie de sa situation, soit j'ai perdu 15€. J'en aurai le cœur net lorsque je serai au MONTENEGRO et que j'irai frappé à la porte de sa maison.


Le port de RIJEKA


Comme la veille, j'ai fait confiance à l'application GPS MAPS.ME qui fournir des itinéraires "vélo". La suite me démontrera que j'ai fait deux fois la même erreur.



Et ca monte, et ca monte !


Oui, oui, vous ne rêvez pas, c'est bien inscrit 17% ! Jusqu'à 12% j'arrive encore à pédaler, mais au delà : je pousse ! et là je pousse mon vélo de 65 kg !

Compte tenu que le GPS n'indiquait aucune autre solution, me voila embarqué dans une galère comme la veille ou il a fallu que je pousse mon vélo sur 3 km en pleine nuit au milieu d'un forêt dense et isolée.


Et puis soudain, plus de route, mais une piste à peine praticable. Et là encore, je pousse, je pousse et je n'en peux plus. N'ayant pas trouvé la chambre d'hôte que j'avais réservé, je me suis dirigé sur le premier village, TRIBALJ.
Alors là c'est un autre aventure qui commence. Déjà me faire comprendre en anglais avec quelqu'un qui le parle, pour moi c'est pas toujours simple, mais lorsque l'interlocuteur ne parle que le Croate, alors là ca vaut le détour (sans jeux de mot).
Finalement, on a fini par se comprendre et j'ai pu dormir au chaud dans une chambre chez l'habitant.



MARDI 29 NOVEMBRE 2016



TRIBALJ - LUKOVO




Ce matin il faIt 6° le vent est tombé, cette journée s'annonce plutôt bien


Les paysages défilent, ca monte encore mais je suis bien sur la machine


Je rejoins un moment le littoral, cela me change des paysages de montagne.




Puis ca remonte à nouveau, qui à dit que l'on ne fait jamais deux fois la même erreur ?
Et bien oui, j'ai fait une nouvelle fois confiance (ce sera la dernière) à mon application GPS MAPS.ME qui de nouveau m'entraine dans une galère en montagne...


Et là !! surprise ! plus de route..... j'ai du pousser Djengo (mon vélo) sur plus de 3 km, finir dans une forêt en altitude dans la nuit noire, imaginant la possibilité que cette forêt Croate abrite en autre ; ours, loups, links, .... mon moral d'acier tiens bon, mais j'ai tout de même parlé à mon vélo et à l'occasion je l'ai baptisé Djengo. Pourquoi j'en sais rien, peut être pour me rassurer et imaginer ne pas être seul. Depuis votre confortable maison, devant votre ordinateur, vous vous dites que Bernard a perdu les pédales pour parler à son vélo, je ne sais pas si j'ai c'est le depuis du délire mais donner un entité à mon compagnon de galère m'as certainement était bénéfique. Le ridicule ne tue pas, il ne fait que blesser !

(Cette photo a été prise le lendemain)

Après une descente vertigineuse de plus de 10 km, dans un froid glacial, j'ai rejoins les lumières de la civilisation à SENJ.
Là, comme la veille, étant donné que j'ai abandonné définivement de retrouver la chambre d'hôte que j'avais réservé (et payé), j'ai eu une nouvelle fois recours à l'accueil local.
Alors, pour votre information, si un jour vous êtes égaré en Croatie, la nuit tombée, sans solution de logement, hôtels fermés, campings fermés, chambres d'hôtes fermées, ne paniquez pas, allez dans le café le plus au centre de la ville ou du village, et dites :
"I'm looking for a room", (je cherche une chambre) et la miracle, le patron du café ou même un des clients présents, connaît quelqu'un qui loue une chambre ou connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un, bref la combine est bien au point, le rabatteur aura sa commission et vous, vous aurez un prix légèrement supérieur à ce que vous auriez du payer.
Mais pas le choix.
J'ai fini au chaud chez un Croate de 2 mètres qui devait pesait au alentours des 120 kg, mais très gentil et serviable, ouf, bonne nuit....

MERCREDI 30 NOVEMBRE 2016

SENJ - LUKOVO


SENJ au petit matin, c'est sur ce port à gauche du quai que se trouve le café dans lequel j'ai demandé une chambre.

Le littoral s'éveille, je peux enfin imaginer une journée tranquille de 94 km


Mais littoral ne veut pas dire "à plat" !

C'est d'ici que j'ai enregistré le message vidéo ci-dessous :



C'est toujours aussi beau, mais ça monte et ça descend


J'ai promis à DJENGO qu'on arriverai avant la nuit


A l'entrée du village il ne faisait pas encore nuit, mais une fois encore, le temps de chercher ma guesthouse, je suis arrivé nuit noire ! En effet, ma réservation se trouvait à 11 km de l'entrée du village, brrrrr.....



JEUDI 1ER DÉCEMBRE 2016

LUKOVO - ZADAR


Hier soir, arrivé encore à la nuit, j'ai été accueilli par une gentille mamie Croate, qui ne parlait pas l'anglais, et encore moins le français ! Au fils des minutes d'une conversation irréelle, j'ai enfin compris que sur booking.com (site par lequel j'avais réservé), une partie du coût de la chambre avait été prélevé et une autre devait être réglé directement au propriétaire, en monnaie locale obligatoirement. Heureusement que j'avais été prévoyant dans la journée et avait retiré des "Kunas". Tout était donc réglé, je pouvais enfin m'installer et prendre une bonne douche chaude. Soudain on frappe à ma porte, (c'est quoi encore !! en bon râleur de français) c'est mamie croate qui m'apporte une part de gâteau et un petit verre de schnaps pour me réchauffer. Je suis touché par cette attention et remercie mamie croate.


Levé de bonne heure, je déjeune et prépare mes affaires. Lorsque je descend dans la cour récupérer mon vélo, je constate ma première crevaison de ce voyage. DJENGO n'a pas aimé notre arrêt du déjeuner dans les herbes et piquants. Il est 7h10 je commence la réparation lorsque j'entends des pas, devinez : "c'est mamie croate" avec dans les mains, un bol de café et quatre crêpes à la confiture "maison". Cela me remets immédiatement de bonne humeur, je remercie la vieille dame qui a du se lever aux aurores pour me préparer ce petit déjeuner. Celui-ci n'était pas compris dans le prix de la chambre, j'ai remercié mille fois mamie croate pour sa gentillesse et son chaleureux accueil.


Nous voilà enfin partis, DJENGO et moi, une chambre à air toute neuve et moi gonflé à bloc, bon oui celle-ci était plutôt facile, mais tentante.
Lors d'une belle descente, j'entends comme un petit bruit un "kloc kloc" venant de la roue arrière et uniquement en roue libre. Voilà que DJENGO fait des siennes ? Demain on ira consulter un "cyclotérapeute" en espérant que ce ne soit pas trop grave. Pourvu qu'on échappe à l'opération, je ne suis pas couvert pour ça !



Malgré ce "kloc kloc" agaçant, la journée se passe à merveille ; un temps ensoleillé, pas de vent, une route bien bitumée, de légères montées, enfin une journée comme je l'ai aime, cool.
Je me dis intérieurement, pourvu que ça dure. Et bien non, décidément chaque jour de ce voyage à son côté pile et son côté face, ou le YIN et le YANG pour les initiés. Fini ma belle petite route au faible trafic, je suis à présent sur une nationale, parallèle à l'autoroute à péage. Le trafic est dense, beaucoup de camions, qui sans doute, par économie, empruntent cette voie gratuite. 25 km de ligne droite, sans accotement réservé aux cyclistes et des conducteurs irrespectueux des distances entre un cycliste et leur maudite bagnole. Parfois je leur hurle dessus, ce trajet n'en fini pas, c'est épuisant, énervant et pas d'autres solutions de substitution.
Après ce moment désagréable, je parviens enfin à l'entrée de Zadar, où je me suis programmé deux jours de repos.



Pour la première fois depuis le début de cette aventure, j'arrive à l'étape vers 15h00, certes après une courte étape de 67km et je découvre avec grand plaisir le studio que j'avais réservé sur airbnb.



VENDREDI 2 ET SAMEDI 3 DECEMBRE 2016

DEUX JOURNEES DE REPOS A ZADAR

La vieille entrée de la ville, par l'Adriatique


Zadar, est située à mi-chemin entre Toulon et Athènes. Je viens juste de dépasser les 1500 km en trois semaines, il m'en reste 1350 pour atteindre Athènes avant le 28 décembre. Je suis dans les temps !



Le charme d'un ensemble de petites ruelles et placettes

C'est avec un pincement au cœur et un sentiment de nostalgie que je découvre le port de Zadar, d'où en juin 2006, Isabelle et moi embarquions sur une goélette, semblable à celle ci-dessous, pour une croisière d'une semaine d'île en île, dans les eaux turquoises de l'Adriatique. Un souvenir inoubliable.

Je dédicace cette photo à ma p'tite femme Isabelle





En cette période, l'ambiance est tout autre. Les animations de Noêl parcourent les rues et ruelles de la vieille cité.


C'est depuis ce magnifique parc urbain que j'ai enregistré mon message vidéo :


Bien récupérer c'est bien dormir mais aussi bien mangé, une bonne côte de bœuf fera l'affaire, accompagné d'un petit vin d'Istrie, franchement pas mauvais,
A votre santé les amis......

Demain, DJENGO et moi ont reprends la route, direction SIBENIK....





SAMEDI 3 DECEMBRE 2016


ZADAR NOUS ACCUEILLE DANS SES RUES EN FETE




Pour commencer, un bon vin chaud...


Suivie d'un bon sandwich à la saucisse et des beignets au sucre roux, le tout accompagné d'une bonne bière légère croate.












Tout un symbole....




La fête est finie.... on the road again !

DIMANCHE 4 DECEMBRE 2016

ZADAR - SIBENIK


Je quitte Zadar aux premières lueurs, je souhaite arriver à mon étape de bonne heure.


Pas de soleil, pas de pluie, pas de vent...




Pause déjeuner dans une petite station balnéaire déserte, un peu de soleil m'aurais fait le plus grand bien.


Au loin j' aperçois déjà les bâtiments de Šibenik, mon étape du jour.


Arrivée à Šibenik, 80 km d'une route un peu monotone mais relativement plate.





J'arrive comme prévu à 15 h 00, toujours pas de soleil.


Demain sera un autre jour.
Ce soir je boucle les trois premières semaines de mon voyage, le compteur affiche 
1603 km, pas mal pour un vieux cyclo...




LUNDI 5 DECEMBRE 2016

SIBENIK - SPLIT

Au départ ce matin, de beaux paysages mais un soleil timide


Ca s'éclairci un peu

Un peu de soleil, ca réchauffe



Puis au détour d'un village nommé Primosten...

...cette vision magique


Plus tard, pour la pause déjeuner, j'arrive à TROGIR, où Isabelle et moi avons de très beaux souvenirs de voyage de noces.
C'est d'ici que j'ai enregistré ce petit message vidéo :




Les ruelles désertes de Trogir, pourtant pleines de touristes pendant l'été



Il est 15h30 lorsque j'arrive à SPLIT, mon étage du jour

J'ai rendez-vous avec Porin, mon hôte sur Split

Après avoir pris possession de ma chambre, une bonne douche chaude, je visite la ville, elle aussi aux couleurs de Noêl

Le centre historique est très impressionnant par sa richesse architecturale

ses portes, remparts et ruelles médiévales



C'est sur cette ambiance de fête de Noël que je regagne ma chambre pour mettre à jour mon blog et préparer l'étape de demain.




MARDI 6 DECEMBRE 2016

SPLIT - MAKARSKA


Au départ, ce matin, toujours pas de soleil. J'ai voulu suivre le littoral afin d'éviter la nationale très empruntée, j'ai mis 1h30 pour quitter la ville, ils ont construit des cités sur le bord de mer, avec des impasses un peu partout, et le tout sur des collines avec des pentes à 12%, j'étais ravi !!


Heureusement, quelques kilomètres plus tard, je retrouve la sérénité sur mon parcours



Toujours pas de soleil, mais les paysages sont superbes


Puis plus tard, j'aperçois dans mon rétro un petit point noir et au fur et à mesure qu'il se rapproche, pas de doute : BYONG m'a encore rattrapé !


On vient juste de repartir, et il me mets 500 mètres en moins de deux !
Pour ma défense, il faut noter qu'il à une quinzaine de kilo en moins à tracter et surtout il a 37 ans de moins que moi !



Le temps se couvre à nouveau, nous avons même droit à une petite averse lorsque nous franchissons ce col.


La moindre éclaircie est exploitée


Après un journée dans l'ensemble assez facile (67km), nous arrivons à l'étape du jour : MAKARSKA


Très jolie station balnéaire, qui a tout de même gardé son charme de port de pêche.




Enfin une arrivée sans complication, c'est très agréable de parvenir à l'étape assez tôt pour visiter et profiter d'un timide rayon de soleil sur une terrasse un verre de bière à la main.




MERCREDI 7 DECEMBRE 2016

MAKARSKA - NEUM


Voici le récit d'une journée qui avait pourtant bien commencée,


Ce matin, enfin c'est le grand beau temps, pas un nuage, un soleil éclatant,


J'en avais même oublié que j'avais une ombre !


Les paysages défilent....


...après chaque virage, c'est un spectacle différent,


même si, on le voit à flanc de montagne, la route n'est pas vraiment plate.


Ce sera finalement un petit col,


puis, une redescente vers une large plaine, où le vent capricieux m'a parfois aidé, parfois ralenti,



Et puis la route de nouveau s'élève, il y avait longtemps que DJENGO et moi n'avions pas vu la montagne !


Ce sera le deuxième col de la journée, on peut apercevoir sur cette photo, tout au fond la saignée de la route à flanc de montagne


A l'issue d'une bonne demi-heure d'efforts, me voilà enfin au sommet de ce col, je viens des montagnes que l'on aperçoit  au fond de cette vallée


De l'autre côté de la montagne, juste avant une descente rapide,



J'arrive finalement à 15h30, en avance sur mon horaire prévu à ma destination, KLEK.
Et c'est là que la journée tourne mal : il n'y a personne à l'adresse de ma réservation, la maison est fermée et la propriétaire qui loue sur Airbnb, ne réponds pas à mes messages successifs. Je descends visiter le village, personne, tout est fermé, c'est le désert.
Prenant mon mal en patience, j'attends jusqu'à 17h00. Je prends la décision de quitter les lieux et de poursuivre la route jusqu'à la prochaine ville ou village. Ce sera NEUM, première ville côtière de BOSNIE-HERZEGOVINE.






Mais une route qui se mérite, il y en aura huit au total comme celle-ci, plus ou moins longues et plus ou moins pentues


L'avantage lorsque l'on prends de la hauteur, c'est de bénéficier de splendides points de vue






Après tous ces efforts, me revoici enfin le long du littoral


Mais la route du littoral continue à me surprendre par ses montées et descentes successives



Tout au fond j'aperçois les haubans du pont de Dubrovnik, mais il me reste 12 km à parcourir


C'est dans cette dernière boucle sinueuse, à la hauteur du chantier en contre bas, que je crève de ma roue de remorque, 5 km avant l'arrivée


Enfin, le pont de Dubrovnik et en contre bas le port depuis lequel, Isabelle et moi avons embarqué sur un bateau de nuit pour relier Bari au sud de l'Italie, c'était déjà le retour de notre voyage de noces en 2006


DUBROVNIOK, dernière étape Croate de mon voyage.
Demain, journée de repos, je vais visiter la vieille cité historique, puis ce sera le départ pour le Monténégro.


Arrivée à 14h15, voilà ma récompense après tous mes efforts, à titre indicatif il y en a pour 38 kunas, soit 5,04 € ! Bonne appétie


Une fois de plus, la journée s'était trop bien passé pour ne pas avoir une surprise de dernière heure ! L'entrée du jardin de la maison d'hôte se situe à mi pente,


Voilà le jardin, dans lequel j'ai monté le vélo, la remorque et mes bagages !


Voici la première partie de l'escalier, devant l'entrée des propriétaires,


la deuxième partie de l'escalier !


la troisième et dernière partie de l'escalier ! Pour quelqu'un qui marche au Voltarène depuis hier, c'est pas top !


Voici le palier de ma chambre d'hôte, j'ai eu la curiosité d'aller voir haut dessus de ma chambre


Juste quelques marches !


et là : un accès par la route !!!!

Demain je partirai par cette voie pour rejoindre la ville historique, fallait savoir.



VENDREDI 9 DECEMBRE 2016

UNE JOURNEE DE REPOS A DUBROVNIK

Entrée principale de la vieille ville fortifiée


La rue principale


La même rue vue dans le sens inverse, notez mesdames la mode en Croatie pour cet hiver, cuissardes et mini jupe ! comme Bardot à l'époque sur sa harley davindson !


De nombreuses petites ruelles perpendiculaires à la rue principale


Je prends un peu de hauteur et je vous emmène en visite sur les remparts





















C'est au pied de cette impressionnante tour, point culminant des remparts que j'ai enregistré cette vidéo :




Vigie côté nord 


          Vigie côté sud




La boucle est bouclée, nous avons fais le tour de la ville













Ainsi s'achève la visite, un petit avant goût de la Grèce !



SAMEDI 10 DECEMBRE

DUBROVNIK - KOTOR

Il est 7h, il fait 10°, le ciel est sans nuage pour le troisième jour consécutif, j'ai des jambes neuves après mon jour de repos, une journée qui s'annonce plutôt bien.


Dubrovnik, la vielle ville, semble encore endormie, bien au chaud dans ses remparts, attendant que le soleil vienne doucement la réveiller et entamer une nouvelle journée.
Adieu Dubrovnik, ou au revoir ?


Le paysage croate toujours aussi beau


Et des routes, toujours aussi belles,





Celle-ci semble me dire : "vous reprendrez une petite montée avant de nous quitter ?"
- Ben oui ! bien obligé, DJENGO et moi on adore ca !!
Décidément la Croatie n'est pas un pays des Carpates, mais celui des "Casse-pates",
(humour à 2€)



Puis, plus loin, après une très belle descente, le poste frontière du Monténégro

A bientôt la Croatie.....

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